A chaque fois que vous lisez ou écoutez une féministe, vous voyez qu’elle détruit le milieu dans lequel elle évolue. Et cela touche tous les domaines de la société.
On le constate dans les arts, très notamment dans le cinéma ou la musique, ou elles attaquent aussi bien des célébrités, qu’un musicien local, les pourrissant allégrement et avec la haine qui les caractérisent, sur les réseaux sociaux, et dans les médias classiques.
Dans le monde de la santé et des hôpitaux dès qu’une femme est féministe, on retrouve comme d’habitude, énergie dégueulasse, individualisme maladif, régressions et débilisation, et désir d’imposer ses délires à tout le monde. Et nullité des actes qui en découle logiquement.
Dans le monde alternatif, surtout dans le yoga et l’ayurvéda, où les signes de possession sont très forts, et marqués par les éléments de sorcellerie et les pratiques visant à se servir des femmes pour établir le chaos, dans le cadre de stratégies globales et profondes. Et la promotion du non-jugement pour ne pas les déranger.
Et dans le monde politique, où des synthèses étalent publiquement fascismes intellectuels et moraux, sans aucune réserve.
Tout y est tellement laid, et sans fin, que c’est impossible de ne ressortir qu’une caractéristique.
Mais une est frappante : l’interdiction faite à l’autre de s’exprimer.
Le « taisez vous » ou « tais-toi », récurrent et parfois même exprimé publiquement, à quiconque ne se soumet pas à leurs sataneries.
Qui existe depuis longtemps, qu’on a vu s’accentuer avec les sites de rencontres, et et encore amplifié avec les réseaux sociaux, où blocages et dénonciations sont les sanctions décidées à qui leur résisterait.
Aucune distinction entre la vie privée et les discours public, on y retrouve cette absence de dialogue. Courage aux personnes qui ont une femme féministe comme voisinage. Ou trempant dans le new âge, la médiumnité, etc.
Leur communication, qui n’en est pas, se réduit à imposer à l’autre non pas d’écouter leurs points de vue, mais de s’y soumettre entièrement. Sinon, elles ne dialoguent pas.
Et donc, elles continuent à débiter leurs nocivités dangereuses, de plus en plus.
Et se regroupent entre elles. A s’écouter et se congratuler de leurs actes. Dans des sororités perverses. Féminin sacré.
Les plus perverses incluent quelques hommes, toujours les moins vertueux, dans leurs cercles, pour mieux faire passer le message. Il faut de toutes façons peu de vertus pour se mélanger à de tels cercles.
Et depuis quelques années, se multiplient ces personnes qui se prétendent maintenant dans le soin alternatif, le bien-être, et vous expliquent comment vivre, tout en vous faisant les poches.
Petits indices visuels, vus trop souvent, et encore à l’instant sur instagram chez une vendeuse de cosmétiques ayurvédiques, proche de femmes médiums : des paumes de mains très anormalement ridées, chez des femmes dans la vingtaine. Mais aussi des formes d’ongles à l’envers du doigt.
Le Tout Puissant nous a donné des outils pour analyser notre environnement, et ils s’avèrent très pertinents. Pour déculotter les louves déguisées en agneaux.
Donc, pour constater des éléments physiques, visuels. Mais aussi des éléments de langage, et l’absence de vraie et réelle communication.
Même dans la dénonciation des dérives sectaires, des féminazies possédées sont en train de tout pourrir. Elles créent par exemple des comptes sortirdunewage, alors que ce sont des médiums, possédées, et cie.
Les voir un jour se transformer en loups garous, ne serait même pas étonnant.
Autres red flags, et proportions très fortes de détraquées : la danse, l’équitation et le travail avec les chevaux. Les profs, même si aujourd’hui c’est encore pire avec les nouveaux métiers du new âge, où elles font les profs, sans aucun encadrement.
Les plus atteintes sortent et écrivent même des phrases, comme : » je t’autorise à « , destinées à leurs publics.
Je disais il y a déjà plus d’une décennie que le nouveau dieu de notre société est la femme. Sauf que c’est le diable déguisé.
NB : les hommes poufiassisées se comportent exactement pareil. Ces comportements relèvent en fait de la possession satanique, de l’absence de valeurs, et de fréquentations exclusivement les mêmes.
On retrouve aussi les hommes de leur entourage dans les deux grandes tendances musicales majoritaires actuellement. Aucun hasard, le caca attire et aime le caca.
Plus le temps passe, et plus on assiste à des luttes entre poufiasses, puisque quand on est détraqué, on finit même par se combattre entre détraquées. Les clashs actuels de réseaux sociaux sont exactement cela.
Et encore plus loin, les détraquées, issues du new age, qui critiquent le new age.
Ainsi, une jeune privilégiée, qui n a tjs rien fait de sa vie à 29 ans à part glander sur les réseaux sociaux et faire de la com, s est ouvert un compte pour critiquer le bullshit.
Sauf, que.
Quand elle fait un post se demander comment on en est arrivé là, et que tu réponds : féminin sacré. (Ce qui est l’évidence même.)
Elle te bloque immédiatement sans aucune discussion.
Quand je dis que cela relève de la possession.
D’ailleurs, il y a tout un réseau comme çà de bizarreries, qui critiquent le new age, tout en étant médiums, etc, et très féminin sacré. Très bizarre, et très alchimie rose croix comme méthodes et actes. Experts en techniques de manipulation de haut niveau.
Et qui poussent bizarrement à la colère, à la haine, etc.
Le féminisme, comme le new age, yoga, ayurvéda et cie, sont des outils au service d’élites et royautés, et au détriment de la majorité.
En bref, tout çà réunit toujours le pire de ce que l’humanité peut produire. D’où les inversions permanentes.