Mais elles créent un magazine qui s’appelle Madmoizelle
Comme toujours et tout le temps, ce néo féminisme est n’importe quoi, et repousse sans cesse les limites du débile, du nocif, et du grotesque.
Dans l’affaire judiciaire qui touche M.Ramadan, nous ne connaissons pas le dossier, mais cet article de ce magasine féministe, inverse tout, comme d’habitude, et essaye de faire passer la vérité, pour des mythes.
Oui, des femmes sont attirées par les hommes de « pouvoir », oui elles se vengent dès qu’elles n’ont pas ce qu’elles veulent, ou pas assez, oui ce sont la plupart du temps des femmes avec peu de vertus qui ont ces comportements et qui pratiquent allègrement les fausses accusations, et inversions.
Les dénégations de ces détraquées ne changent rien, et il devient URGENT que la société les soigne et les empêches de tout pourrir tout le temps, au lieu de leur donner des pouvoirs et de les faire passer pour des victimes.
Petit bonus de la journée. Les maboules des réseaux sociaux, qui utilisent les storys instagram, pour dire j’ai fait pipi, j’ai fait caca, mon programme est ci ou çà, comme si cela pouvait intéresser qui que se soit d’intelligent, et avoir une quelconque utilité pour quiconque.
Et alors qu’elles ont une trentaine d’années.
Hasard, féminazies des réseaux escrotéristes et féminin sacré. Qui passent leur temps à pourrir et enfoncer les hommes.
Ces écervelées, donnent de plus en plus souvent l’impression de rechercher la fessée. Elles la méritent, en tout cas.
Ainsi, dans un article de « presse », une ancienne figurante, et aujourd’hui metteur en scène, car féministe, outre une prose d’enfant prépubère très particulièrement attardé et mal élevé, met en cause et calomnie Gérard Depardieu, en parlant à tout bout de temps de sa « chatte ». Et c’est aussi une caractéristique de ces réseaux et des possédées, de pourrir les hommes, tout en pensant et en parlant en permanence de leur sexe.
Et c’est un outil performant de destruction du lien social, que de ramener une personne à son sexe, tout en le retirant de ses obligations de citoyen, et en lui octroyant des droits exorbitants et supérieurs aux autres.